DOLIRHUME Comprimés Boite de 16

5,73 € TTC

Traitement au cours des rhumes de l'adulte et de l'adolescent de plus de 15 ans :

  • des sensations de nez bouché,
  • des maux de tête
  • et/ou fièvre.

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Numéro de série: 3412559
La description

FORMES et PRÉSENTATIONS

Comprimé (blanc) : Boîte de 16, sous plaquette thermoformée.

COMPOSITION

par comprimé
Paracétamol (DCI) 500 mg
Pseudoéphédrine (DCI) chlorhydrate 30 mg
(soit en pseudoéphédrine : 24,57 mg/cp)

Excipients : amidon de blé, amidon de pomme de terre, carboxyméthylamidon sodique, lactose, stéarate de magnésium.

INDICATIONS

Traitement au cours des rhumes de l'adulte et de l'adolescent de plus de 15 ans :

des sensations de nez bouché,des maux de tête et/ou fièvre.

POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION

Posologie :

Voie orale.

Réservé à l'adulte et à l'adolescent de plus de 15 ans.

1 à 2 comprimés 3 fois par jour. L'intervalle entre les prises sera au minimum de 4 heures.

Ne pas dépasser 6 comprimés par jour. La posologie quotidienne maximale est de 3 g de paracétamol et 180 mg de pseudoéphédrine.

En l'absence d'amélioration au bout de 5 jours de traitement, il est nécessaire de prendre un avis médical.

Insuffisance rénale :En cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 10 ml/min), l'intervalle entre 2 prises sera au minimum de 8 heures.

Mode d'administration :

Les comprimés sont à avaler tels quels, avec un verre d'eau.

CONTRE-INDICATIONS

Absolues :Hypersensibilité à l'un des constituants du produit.Enfant de moins de 15 ans.Antécédents d'accident vasculaire cérébral ou de facteurs de risque susceptibles de favoriser la survenue d'accident vasculaire cérébral, en raison de l'activité sympathomimétique alpha du vasoconstricteur.Hypertension artérielle sévère ou mal équilibrée par le traitement.Insuffisance coronarienne sévère.Risque de glaucome par fermeture de l'angle.Risque de rétention urinaire liée à des troubles urétroprostatiques.Antécédents de convulsions.Insuffisance hépatocellulaire en raison de la présence de paracétamol.Allaitement (cf Fertilité/Grossesse/Allaitement).Allergie au blé (autre que la maladie coeliaque).IMAO non sélectifs en raison du risque d'hypertension paroxystique et d'hyperthermie pouvant être fatales (cf Interactions).Sympathomimétiques à action indirecte : vasoconstricteurs destinés à décongestionner le nez, qu'ils soient administrés par voie orale ou nasale (phényléphrine [alias néosynéphrine], pseudoéphédrine, éphédrine) ainsi que méthylphénidate, en raison du risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives (cf Interactions).Sympathomimétiques de type alpha : vasoconstricteurs destinés à décongestionner le nez, qu'ils soient administrés par voie orale ou nasale (étiléfrine, naphazoline, oxymétazoline, phényléphrine [alias néosynéphrine], synéphrine, tétryzoline, tuaminoheptane, tymazoline), ainsi que midodrine, en raison du risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives (cf Interactions).

L'association de deux décongestionnants est contre-indiquée, quelle que soit la voie d'administration (orale et/ou nasale) : une telle association est inutile et dangereuse et correspond à un mésusage.

Relatives :Grossesse : cf Fertilité/Grossesse/Allaitement.

DC MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI (début page)

En cas de fièvre élevée ou persistante, de survenue de signes de surinfection ou de persistance des symptômes au-delà de 5 jours, une réévaluation du traitement doit être faite. Mises en garde :

Lié à la pseudoéphédrine :Il est impératif de respecter strictement la posologie, la durée de traitement de 5 jours, les contre-indications (cf Effets indésirables).Les patients doivent être informés que la survenue d'une hypertension artérielle, de tachycardie, de palpitations ou de troubles du rythme cardiaque, de nausées ou de tout signe neurologique (tel que l'apparition ou la majoration de céphalées) impose l'arrêt du traitement.Il est conseillé aux patients de prendre un avis médical en cas d'hypertension artérielle, d'affections cardiaques, d'hyperthyroïdie, de psychose ou de diabète.La prise de ce médicament est déconseillée en raison du risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives lié à son activité sympathomimétique indirecte avec les médicaments suivants (cf Interactions) :IMAO-A sélectifs,alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques (bromocriptine, cabergoline, lisuride ou pergolide) ou vasoconstricteurs (dihydroergotamine, ergotamine, méthylergométrine ou méthysergide),linézolide.

Des troubles neurologiques à type de convulsions, d'hallucinations, de troubles du comportement, d'agitation, d'insomnie ont été décrits, plus fréquemment chez des enfants, après administration de vasoconstricteurs par voie systémique, en particulier au cours d'épisodes fébriles ou lors de surdosages.Par conséquent, il convient notamment de :ne pas prescrire ce traitement en association avec des médicaments susceptibles d'abaisser le seuil épileptogène tels que : dérivés terpéniques, clobutinol, substances atropiniques, anesthésiques locaux... ou en cas d'antécédents convulsifs ;respecter, dans tous les cas, la posologie préconisée, et d'informer le patient des risques de surdosage en cas d'association avec d'autres médicaments contenant des vasoconstricteurs.

Lié au paracétamol :Pour éviter un risque de surdosage, vérifier l'absence de paracétamol dans la composition d'autres médicaments.Chez l'adulte et l'enfant de moins de 50 kg, la dose totale de paracétamol ne doit pas excéder 3 g par jour (cf Surdosage).Chez l'adulte et l'enfant de plus de 50 kg, la dose totale de paracétamol ne doit pas excéder 4 g par jour (cf Surdosage).

Lié aux excipients :Ce médicament contient du lactose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp, ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose (maladies héréditaires rares).Ce médicament peut être administré en cas de maladie coeliaque. L'amidon de blé peut contenir du gluten, mais seulement à l'état de trace, et est donc considéré comme sans danger pour les sujets atteints d'une maladie coeliaque.

Précautions d'emploi :

Lié à la pseudoéphédrine :L'attention des sportifs est attirée sur le fait que la pseudoéphédrine peut induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.

Lié au paracétamol :A utiliser avec précaution en cas de :poids inférieur à 50 kg,insuffisance hépatocellulaire légère à modérée,insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <= 30 ml/min) : cf Pharmacocinétique,alcoolisme chronique,malnutrition chronique (réserves basses en glutathion hépatique),déshydratation.

En cas de découverte d'une hépatite virale aiguë, il convient d'arrêter le traitement.

INTERACTIONS

Interactions médicamenteuses :

Lié au paracétamol :

Nécessitant des précautions d'emploi :

Anticoagulants oraux : risque d'augmentation de l'effet de l'anticoagulant oral et du risque hémorragique en cas de prise de paracétamol aux doses maximales (4 g/j) pendant au moins 4 jours. Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'anticoagulant oral pendant le traitement par le paracétamol et après son arrêt.

Lié à la pseudoéphédrine :

Contre-indiquées : (Cf Contre-indications.)

IMAO non sélectifs : hypertension paroxystique, hyperthermie pouvant être fatale. Du fait de la durée d'action de l'IMAO, cette interaction est encore possible 15 jours après l'arrêt de l'IMAO.Autres sympathomimétiques indirects (éphédrine, méthylphénidate, phényléphrine [alias néosynéphrine], pseudoéphédrine) : risque de vasoconstriction et/ou de crises hypertensives.Sympathomimétiques alpha (voies orale et/ou nasale) [étiléfrine, midodrine, naphazoline, oxymétazoline, phényléphrine, synéphrine, tétryzoline, tuaminoheptane, tymazoline] : risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

Déconseillées : (Cf Mises en garde et Précautions d'emploi.)

Alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques (bromocriptine, cabergoline, lisuride, pergolide) : risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.Alcaloïdes de l'ergot de seigle vasoconstricteurs (dihydroergotamine, ergotamine, méthylergométrine, méthysergide) : risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.IMAO-A sélectifs (moclobémide, toloxatone) : risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.Linézolide : risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

Nécessitant des précautions d'emploi :

Anesthésiques volatils halogénés : poussée hypertensive peropératoire. En cas d'intervention programmée, il est préférable d'interrompre le traitement quelques jours avant l'intervention.

Examens paracliniques : Lié au paracétamol :

La prise de paracétamol peut fausser le dosage de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase-peroxydase en cas de concentrations anormalement élevées.

La prise de paracétamol peut fausser le dosage de l'acide urique sanguin par la méthode à l'acide phosphotungstique.

FERTILITÉ/GROSSESSE/ALLAITEMENT

La présence de pseudoéphédrine parmi les constituants conditionne la conduite à tenir pendant la grossesse et l'allaitement. Grossesse :

Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal. En clinique, les études épidémiologiques n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif lié à l'utilisation de la pseudoéphédrine. Cependant, par mesure de prudence et compte tenu des puissantes propriétés vasoconstrictives de ce médicament, son utilisation est déconseillée pendant la grossesse.

Allaitement :

La pseudoéphédrine passe dans le lait maternel. Compte tenu des possibles effets cardiovasculaires et neurologiques des vasoconstricteurs, la prise de ce médicament est contre-indiquée pendant l'allaitement.

EFFETS INDÉSIRABLES

Réactions d'hypersensibilité liées à l'un des composants de ce médicament.

Lié à la pseudoéphédrine :

Troubles cardiaques :Palpitations.Tachycardie.Infarctus du myocarde.

Troubles visuels :Crise de glaucome par fermeture de l'angle.

Troubles gastro-intestinaux :Sécheresse buccale.Nausées.Vomissements.Colites ischémiques.

Troubles du système nerveux :Accidents vasculaires cérébraux hémorragiques, exceptionnellement chez des patients ayant utilisé des spécialités à base de chlorhydrate de pseudoéphédrine : ces accidents vasculaires cérébraux sont apparus lors de surdosage ou de mésusage et/ou chez des patients présentant des facteurs de risques vasculaires.Accidents vasculaires ischémiques.Céphalées.Convulsions.

Troubles psychiatriques :Anxiété.Agitation.Troubles du comportement.Hallucinations.Insomnie.

Une fièvre, un surdosage, une association médicamenteuse susceptible de diminuer le seuil épileptogène ou de favoriser un surdosage, ont souvent été retrouvés et semblent prédisposer à la survenue de tels effets (cf Contre-indications, Mises en garde et Précautions d'emploi).

Troubles urinaires :Dysurie (en particulier en cas de troubles urétroprostatiques).Rétention urinaire (en particulier en cas de troubles urétroprostatiques).

Troubles cutanés :Sueurs.Exanthème.Prurit.Urticaire.

Troubles vasculaires :Hypertension (poussée hypertensive).

Lié au paracétamol :

Quelques rares cas de réactions d'hypersensibilité à type de choc anaphylactique, oedème de Quincke, érythème, urticaire, rash cutané ont été rapportés. Leur survenue impose l'arrêt définitif de ce médicament et des médicaments apparentés.De très exceptionnels cas de thrombopénie, de leucopénie et de neutropénie ont été signalés.

SURDOSAGE

Lié à la pseudoéphédrine :

Le surdosage en pseudoéphédrine peut entraîner : accès hypertensif, troubles du rythme, convulsions, délire, hallucinations, agitation, troubles du comportement, insomnie, mydriase, accident vasculaire cérébral.

Lié au paracétamol :

Le risque d'une intoxication grave peut être particulièrement élevé chez les sujets âgés, chez les jeunes enfants, chez les patients avec une atteinte hépatique, en cas d'alcoolisme chronique, chez les patients souffrant de malnutrition chronique. Dans ces cas, l'intoxication peut être mortelle.Symptômes :Nausées, vomissements, anorexie, pâleur, douleurs abdominales apparaissent généralement dans les 24 premières heures.Un surdosage à partir de 10 g de paracétamol, en une seule prise, chez l'adulte et 150 mg/kg de poids corporel, en une seule prise, chez l'enfant, provoque une cytolyse hépatique susceptible d'aboutir à une nécrose complète et irréversible se traduisant par une insuffisance hépatocellulaire, une acidose métabolique, une encéphalopathie pouvant aller jusqu'au coma et à la mort.Simultanément, on observe une augmentation des transaminases hépatiques, de la lacticodéshydrogénase, de la bilirubine, et une diminution du taux de prothrombine pouvant apparaître 12 à 48 heures après l'ingestion.

Conduite d'urgence :Transfert immédiat en milieu hospitalier.Prélever un tube de sang pour faire le dosage plasmatique initial de paracétamol.Évacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique.Acidifier les urines en donnant du chlorure d'ammonium (pour augmenter l'élimination de la pseudoéphédrine).Le traitement du surdosage en paracétamol comprend classiquement l'administration aussi précoce que possible de l'antidote N-acétylcystéine par voie IV ou voie orale si possible avant la dixième heure.Traitement symptomatique.

PHARMACODYNAMIE

Classe pharmacothérapeutique : Décongestionnants à usage systémique (code ATC : R01BA52).

Ce médicament associe un antalgique, le paracétamol, et un vasoconstricteur, la pseudoéphédrine.

PHARMACOCINÉTIQUE

Paracétamol :

Absorption :L'absorption du paracétamol par voie orale est complète et rapide. Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes 30 à 60 minutes après ingestion.

Distribution :Le paracétamol se distribue rapidement dans tous les tissus. Les concentrations sont comparables dans le sang, la salive et le plasma. La liaison aux protéines plasmatiques est faible.

Métabolisme :Le paracétamol est métabolisé essentiellement au niveau du foie. Les 2 voies métaboliques majeures sont la glycuroconjugaison et la sulfoconjugaison. Cette dernière voie est rapidement saturable aux posologies supérieures aux doses thérapeutiques. Une voie mineure, catalysée par le cytochrome P450, est la formation d'un intermédiaire réactif, le N-acétyl benzoquinone imine qui dans les conditions normales d'utilisation est rapidement détoxifié par le glutathion réduit et éliminé dans les urines après conjugaison à la cystéine et à l'acide mercaptopurique. En revanche, lors d'intoxications massives, la quantité de ce métabolite toxique est augmentée.

Élimination :L'élimination est essentiellement urinaire. 90 % de la dose ingérée sont éliminés par le rein en 24 heures, principalement sous forme glycuroconjuguée (60 à 80 %) et sulfoconjuguée (20 à 30 %). Moins de 5 % sont éliminés sous forme inchangée. La demi-vie d'élimination est d'environ 2 heures.

Variations physiopathologiques :Insuffisance rénale : en cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 10 ml/min), l'élimination du paracétamol et de ses métabolites est retardée.Sujet âgé : la capacité de conjugaison n'est pas modifiée.

Pseudoéphédrine :

Après administration par voie orale, la pseudoéphédrine est excrétée essentiellement par voie rénale sous forme inchangée (70 à 90 %).Sa demi-vie d'élimination est dépendante du pH urinaire.L'alcalinisation des urines entraîne une augmentation accrue de la réabsorption tubulaire avec, pour conséquence, un allongement de la demi-vie d'élimination de la pseudoéphédrine.

CONDITIONS DE CONSERVATION

A conserver à une température ne dépassant pas 30 °C.

PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE

AMM 3400934125591 (1996, RCP rév 04.10.2011).

Non remb Séc soc. GP.

 

Détails du produit
SANOFI
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