ACTIFED RHUME Comprimé Boite de 15

4,88 € TTC

Traitement au cours des rhumes de l'adulte et de l'adolescent de plus de 15 ans :

  • des sensations de nez bouché;
  • de l'écoulement nasal clair;
  • des maux de tête et/ou fièvre.

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Numéro de série: 3556293
La description

FORMES et PRÉSENTATIONS

Comprimé (blanc) : Boîte de 15, sous plaquettes thermoformées.

COMPOSITION

par comprimé:
Paracétamol (DCI) 500 mg
Pseudoéphédrine (DCI) chlorhydrate 60 mg
Triprolidine (DCI) chlorhydrate 2,5 mg

Excipients : amidon de maïs prégélatinisé, povidone, crospovidone, acide stéarique, cellulose microcristalline, silice colloïdale, stéarate de magnésium.

INDICATIONS

Traitement au cours des rhumes de l'adulte et de l'adolescent de plus de 15 ans :

  • des sensations de nez bouché ;
  • de l'écoulement nasal clair ;
  • des maux de tête et/ou fièvre.

 

POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION

  • Voie orale.
  • Réservé à l'adulte et à l'adolescent de plus de 15 ans. .
  • 1 comprimé à renouveler si nécessaire au bout de 6 heures minimum, sans dépasser 3 comprimés par jour. Le comprimé est à avaler tel quel, avec une boisson (par exemple eau, lait, jus de fruit). En l'absence d'amélioration au bout de 5 jours de traitement, il est nécessaire de prendre un avis médical.
  • Insuffisance rénale :En cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 10 ml/min), l'intervalle entre 2 prises sera au minimum de 8 heures. La dose de paracétamol ne devra pas dépasser 3 g par jour.

 

CONTRE-INDICATIONS

Absolues :Hypersensibilité à l'un des constituants du produit.Enfant de moins de 15 ans.Antécédents d'accident vasculaire cérébral ou de facteurs de risque susceptibles de favoriser la survenue d'accident vasculaire cérébral, en raison de l'activité sympathomimétique alpha du vasoconstricteur.Hypertension artérielle sévère ou mal équilibrée par le traitement.Insuffisance coronarienne sévère.Risque de glaucome par fermeture de l'angle.Risque de rétention urinaire liée à des troubles urétroprostatiques.Antécédents de convulsions.Insuffisance hépatocellulaire, en raison de la présence de paracétamol.Allaitement (cf Fertilité/Grossesse/Allaitement).IMAO non sélectifs en raison du risque d'hypertension paroxystique et d'hyperthermie pouvant être fatale (cf Interactions).Sympathomimétiques à action indirecte : vasoconstricteurs destinés à décongestionner le nez, qu'ils soient administrés par voie orale ou nasale [phényléphrine (alias néosynéphrine), pseudoéphédrine, éphédrine] ainsi que méthylphénidate, en raison du risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives (cf Interactions).En association aux sympathomimétiques de type alpha : vasoconstricteurs destinés à décongestionner le nez, qu'ils soient administrés par voie orale ou nasale [étiléfrine, naphazoline, oxymétazoline, phényléphrine (alias néosynéphrine), synéphrine, tétryzoline, tuaminoheptane, tymazoline], ainsi que midodrine, en raison du risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives (cf Interactions).

L'association de deux décongestionnants est contre-indiquée, quelle que soit la voie d'administration (orale et/ou nasale) : une telle association est inutile et dangereuse et correspond à un mésusage.

Relatives :Grossesse

MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI

Mises en garde :

  • En cas de fièvre élevée ou persistante, de survenue de signes de surinfection ou de persistance des symptômes au-delà de 5 jours, une réévaluation du traitement doit être faite.
  • En raison de la présence de pseudoéphédrine :Il est impératif de respecter strictement la posologie, la durée de traitement de 5 jours, les contre-indications (cf Effets indésirables).Les patients doivent être informés que la survenue d'une hypertension artérielle, de tachycardie, de palpitations ou de troubles du rythme cardiaque, de nausées ou de tout signe neurologique (tels que l'apparition ou la majoration de céphalées) impose l'arrêt du traitement.Il est conseillé aux patients de prendre un avis médical en cas d'hypertension artérielle, d'affections cardiaques, d'hyperthyroïdie, de psychose ou de diabète.
  • La prise de ce médicament est déconseillée en raison du risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives lié à son activité sympathomimétique indirecte avec les médicaments suivants (cf Interactions) :IMAO-A sélectifs.Alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques (bromocriptine, cabergoline, lisuride ou pergolide) ou vasoconstricteurs (dihydroergotamine, ergotamine, méthylergométrine ou méthysergide).Linézolide. Des troubles neurologiques à type de convulsions, d'hallucinations, de troubles du comportement, d'agitation, d'insomnie ont été décrits, plus fréquemment chez des enfants, après administration de vasoconstricteurs par voie systémique, en particulier au cours d'épisodes fébriles ou lors de surdosages.
  • Par conséquent, il convient notamment de :ne pas prescrire ce traitement en association avec des médicaments susceptibles d'abaisser le seuil épileptogène tels que dérivés terpéniques, clobutinol, substances atropiniques, anesthésiques locaux..., ou en cas d'antécédents convulsifs ;respecter, dans tous les cas, la posologie préconisée, et informer le patient des risques de surdosage en cas d'association, avec d'autres médicaments contenant des vasoconstricteurs.
  • En raison de la présence de paracétamol :Pour éviter un risque de surdosage, vérifier l'absence de paracétamol dans la composition d'autres médicaments.Chez l'adulte et l'enfant de plus de 50 kg, la dose totale de paracétamol ne doit pas excéder 3 grammes par jour (cf Surdosage).

 

Précautions d'emploi :

La surveillance du traitement doit être renforcée dans les cas suivants :

  • Chez le sujet âgé présentant :une plus grande sensibilité à l'hypotension orthostatique, aux vertiges et à la sédation ;une constipation chronique (risque d'iléus paralytique) ;une hypertrophie prostatique.
  • En cas d'insuffisance rénale, en raison du risque d'accumulation.
  • La prise de boissons alcoolisées ou de médicaments contenant de l'alcool pendant le traitement est déconseillée (cf Interactions).
  • L'attention des sportifs est attirée sur le fait que la pseudoéphédrine peut induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.

 

INTERACTIONS

Interactions médicamenteuses : Liées à la présence de paracétamol :
Nécessitant des précautions d'emploi :

Anticoagulants oraux : risque d'augmentation de l'effet de l'anticoagulant oral et du risque hémorragique en cas de prise de paracétamol aux doses maximales (4 g/j) pendant au moins 4 jours. Contrôle plus fréquent de l'INR. Adaptation éventuelle de la posologie de l'anticoagulant oral pendant le traitement par le paracétamol et après son arrêt.

Liées à la présence de pseudoéphédrine : Contre-indiquées (cf Contre-indications) :

IMAO non sélectifs : hypertension paroxystique, hyperthermie pouvant être fatales. Du fait de la durée d'action de l'IMAO, cette interaction est encore possible 15 jours après l'arrêt de l'IMAO.Autres sympathomimétiques indirects (éphédrine, méthylphénidate, phényléphrine [alias néosynéphrine], pseudoéphédrine) : risque de vasoconstriction et/ou de crises hypertensives.Sympathomimétiques alpha (voies orale et/ou nasale ; étiléfrine, midodrine, naphazoline, oxymétazoline, phényléphrine, synéphrine, tétryzoline, tuaminoheptane, tymazoline) : risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

Déconseillées (cf Mises en garde/Précautions d'emploi) :

Alcaloïdes de l'ergot de seigle dopaminergiques (bromocriptine, cabergoline, lisuride, pergolide) : risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.Alcaloïdes de l'ergot de seigle vasoconstricteurs (dihydroergotamine, ergotamine, méthylergométrine, méthysergide) : risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.IMAO-A sélectifs (moclobémide, toloxatone) : risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.Linézolide : risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

Nécessitant des précautions d'emploi :

Anesthésiques volatils halogénés : poussée hypertensive peropératoire. En cas d'intervention programmée, il est préférable d'interrompre le traitement quelques jours avant l'intervention.

Liées à la présence de triprolidine :

Médicaments atropiniques : il faut prendre en compte le fait que les substances atropiniques peuvent additionner leurs effets indésirables et entraîner plus facilement une rétention urinaire, une poussée aiguë de glaucome, une constipation, une sécheresse de la bouche, etc. Les divers médicaments atropiniques sont représentés par les antidépresseurs imipraminiques, la plupart des antihistaminiques H1 atropiniques, les antiparkinsoniens anticholinergiques, les antispasmodiques atropiniques, le disopyramide, les neuroleptiques phénothiaziniques ainsi que la clozapine.Médicaments sédatifs : il faut prendre en compte le fait que de nombreux médicaments ou substances peuvent additionner leurs effets dépresseurs du système nerveux central et contribuer à diminuer la vigilance. Il s'agit des dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), des neuroleptiques, des barbituriques, des benzodiazépines, des anxiolytiques autres que les benzodiazépines (par exemple, le méprobamate), des hypnotiques, des antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine), des antihistaminiques H1 sédatifs, des antihypertenseurs centraux, du baclofène et du thalidomide.

Déconseillées (cf Mises en garde/Précautions d'emploi) :

Consommation d'alcool : majoration par l'alcool de l'effet sédatif de la triprolidine. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Éviter la prise de boissons alcoolisées et d'autres médicaments contenant de l'alcool.

Examens paracliniques : Liées à la présence de paracétamol :

La prise de paracétamol peut fausser le dosage de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase-peroxydase en cas de concentrations anormalement élevées.

La prise de paracétamol peut fausser le dosage de l'acide urique sanguin par la méthode à l'acide phosphotungstique.

FERTILITÉ/GROSSESSE/ALLAITEMENT

La présence de pseudoéphédrine parmi les constituants conditionne la conduite à tenir pendant la grossesse et l'allaitement.

Grossesse : Il n'y a pas de données fiables de tératogenèse chez l'animal.

En clinique, les études épidémiologiques n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif lié à l'utilisation de pseudoéphédrine. Cependant, par mesure de prudence et compte tenu des puissantes propriétés vasoconstrictives de ce médicament, son utilisation est déconseillée pendant la grossesse.

Allaitement :

La pseudoéphédrine passe dans le lait maternel. Compte tenu des possibles effets cardiovasculaires et neurologiques des vasoconstricteurs, la prise de ce médicament est contre-indiquée pendant l'allaitement.

CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES

L'attention est appelée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence attachés à l'emploi de ce médicament, surtout en début de traitement. Ce phénomène est accentué par la prise de boissons alcoolisées ou de médicaments contenant de l'alcool.

EFFETS INDÉSIRABLES

  • Réactions d'hypersensibilité liées à l'un des composants de ce médicament.
  • Liés à la présence de pseudoéphédrine :Troubles cardiaques :Palpitations.Tachycardie.Infarctus du myocarde.
  • Troubles visuels :Crise de glaucome par fermeture de l'angle.
  • Troubles gastro-intestinaux :Sécheresse buccale.Nausées.Vomissements.
  • Troubles du système nerveux :Accidents vasculaires cérébraux hémorragiques, exceptionnellement chez des patients ayant utilisé des spécialités à base de chlorhydrate de pseudoéphédrine : ces accidents vasculaires cérébraux sont apparus lors de surdosage ou de mésusage chez des patients présentant des facteurs de risques vasculaires.Accidents vasculaires ischémiques.Céphalées.Convulsions.
  • Troubles psychiatriques :Anxiété.Agitation.Troubles du comportement.Hallucinations.Insomnie.
  • Une fièvre, un surdosage, une association médicamenteuse susceptible de diminuer le seuil épileptogène ou de favoriser un surdosage, ont souvent été retrouvés et semblent prédisposer à la survenue de tels effets (cf Contre-indications, Mises en garde et Précautions d'emploi).
  • Troubles urinaires :Dysurie (en particulier en cas de troubles urétroprostatiques).Rétention urinaire (en particulier en cas de troubles urétroprostatiques).
  • Troubles cutanés :Sueurs.Exanthème.Prurit.Urticaire.
  • Troubles vasculaires :Hypertension (poussée hypertensive).
  • Liés à la présence de paracétamol :Quelques rares cas de réactions d'hypersensibilité à type de choc anaphylactique, oedème de Quincke, érythème, urticaire, rash cutané ont été rapportés. Leur survenue impose l'arrêt définitif de ce médicament et des médicaments apparentés.De très exceptionnels cas de thrombopénie, leucopénie et neutropénie ont été signalés
  • Liés à la présence de triprolidine :Les caractéristiques pharmacologiques de la triprolidine sont à l'origine d'effets indésirables d'inégale intensité et liés ou non à la dose (cf Pharmacodynamie).Effets neurovégétatifs :Sédation ou somnolence, plus marquée en début de traitement.Hypotension orthostatique.Effets anticholinergiques à type de sécheresse des muqueuses, constipation, troubles de l'accommodation, mydriase, palpitations, troubles urinaires (dysurie, rétention).Troubles de l'équilibre, vertiges, baisse de la mémoire ou de la concentration, plus fréquents chez le sujet âgé.Incoordination motrice, tremblements.Confusion mentale, hallucinations.Plus rarement, des effets sont à type d'excitation : agitation, nervosité, insomnie.
  • Réactions d'hypersensibilité (rare) :Érythèmes, prurit, eczéma, purpura, urticaire.OEdème, plus rarement oedème de Quincke.Choc anaphylactique.
  • Effets hématologiques :Leucopénie, neutropénie.Thrombocytopénie.Anémie hémolytique.

 

SURDOSAGE

Lié à la pseudoéphédrine :Le surdosage en pseudoéphédrine peut entraîner : accès hypertensif, troubles du rythme, convulsions, délire, hallucinations, agitation, troubles du comportement, insomnie, mydriase, accident vasculaire cérébral.

Lié à la triprolidine :Le surdosage en triprolidine peut entraîner : convulsions (surtout chez l'enfant), troubles de la conscience, coma.

Lié au paracétamol :L'intoxication est à craindre chez les sujets âgés et surtout chez les jeunes enfants (surdosage thérapeutique ou intoxication accidentelle fréquente) chez lesquels elle peut être mortelle.Symptômes :Nausées, vomissements, anorexie, pâleur, douleurs abdominales apparaissent généralement dans les 24 premières heures.Un surdosage, à partir de 10 g de paracétamol en une seule prise chez l'adulte et 150 mg/kg de poids corporel en une seule prise chez l'enfant, provoque une cytolyse hépatique susceptible d'aboutir à une nécrose complète et irréversible se traduisant par une insuffisance hépatocellulaire, une acidose métabolique, une encéphalopathie pouvant aller jusqu'au coma et à la mort.Simultanément, on observe une augmentation des transaminases hépatiques, de la lactico-déshydrogénase, de la bilirubine et une diminution du taux de prothrombine pouvant apparaître 12 à 48 heures après l'ingestion.

PHARMACODYNAMIE

décongestionnants à usage systémique.

Ce médicament associe un antalgique antipyrétique (le paracétamol), un vasoconstricteur (la pseudoéphédrine) et un antihistaminique (la triprolidine).

PHARMACOCINÉTIQUE

Paracétamol :

Absorption :L'absorption du paracétamol par voie orale est complète et rapide. Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes 30 à 60 minutes après ingestion.

Distribution :Le paracétamol se distribue rapidement dans tous les tissus. Les concentrations sont comparables dans le sang, la salive et le plasma. La liaison aux protéines plasmatiques est faible.

Métabolisme :Le paracétamol est métabolisé essentiellement au niveau du foie. Les deux voies métaboliques majeures sont la glycuroconjugaison et la sulfoconjugaison. Cette dernière voie est rapidement saturable aux posologies supérieures aux doses thérapeutiques.Une voie mineure, catalysée par le cytochrome P450, est la formation d'un intermédiaire réactif (le N-acétyl benzoquinone imine) qui, dans les conditions normales d'utilisation, est rapidement détoxifié par le glutathion réduit et éliminé dans les urines après conjugaison à la cystéine et à l'acide mercaptopurique. En revanche, lors d'intoxications massives, la quantité de ce métabolite toxique est augmentée.

Élimination :L'élimination est essentiellement urinaire. 90 % de la dose ingérée est éliminée par le rein en 24 heures, principalement sous forme glycuroconjuguée (60 à 80 %) et sulfoconjuguée (20 à 30 %). Moins de 5 % est éliminé sous forme inchangée.La demi-vie d'élimination est d'environ 2 heures.

Variations physiopathologiques :Insuffisance rénale : en cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 10 ml/min), l'élimination du paracétamol et de ses métabolites est retardée.Sujet âgé : la capacité de conjugaison n'est pas modifiée.

Pseudoéphédrine :

Après administration par voie orale, la pseudoéphédrine est excrétée essentiellement par voie rénale sous forme inchangée (70 à 90 %).Sa demi-vie d'élimination est dépendante du pH urinaire.L'alcalinisation des urines entraîne une augmentation accrue de la réabsorption tubulaire, avec pour conséquence, un allongement de la demi-vie d'élimination de la pseudoéphédrine.

MODALITÉS DE CONSERVATION

Durée de conservation : 2 ans.

A conserver à une température ne dépassant pas 25 °C.

 

 

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